Si vous êtes jeunes conducteurs, il est normal d’avoir des questions qui vous trottent dans la tête. CapCar / CapCar vous donne toutes les astuces pour vous posez et mieux appréhender votre situation de nouveau conducteur.
Si vous êtes jeunes conducteurs, il est normal d’avoir des questions qui vous trottent dans la tête. CapCar / CapCar vous donne toutes les astuces pour vous posez et mieux appréhender votre situation de nouveau conducteur.
Sommaire:
Vous êtes considéré comme jeune conducteur pendant une durée de 3 ans après l’obtention de votre permis de conduire auto ou moto.
La durée du permis probatoire est de :
A la fin de la période probatoire, vous recevrez un courrier, la « lettre 46 » vous spécifiant l’attribution des 12 points sur votre permis de conduire, si vous n’en avez pas perdu durant votre période probatoire. Sur un volet de votre permis sont indiqués la date d’obtention du permis et la date de fin de période probatoire.
Appliqué à tous les permis obtenus à partir du 1er mars 2004, le permis probatoire est une période de 2 ou 3 ans qui suit l’obtention du permis de conduire. Durant cette période, les jeunes conducteurs sont soumis à un certain nombre de contraintes les incitant à être les plus prudents possible sur la route.
Une fois votre permis de conduire obtenu, vous commencez avec 6 points sur votre permis. À la suite de chaque année sans infraction, vous acquérez 2 points supplémentaires sur votre permis (3 pour les personnes ayant obtenu leur permis en conduite accompagnée). Ainsi, à l’issue de 3 ans de conduite sans infraction, et 2 ans pour les personnes ayant obtenu leur permis en conduite accompagnée, le capital du permis probatoire est porté à 12 points.
3 ans se permis | 12 points | 12 points | |
---|---|---|---|
2 ans se permis | 12 points | 10 points | 10 points |
1 an de permis | 9 points | 8 points | 8 points |
Année 0 | 6 points | 6 points | 6 points |
Conduite accompagnée | Conduite traditionnelle | Conduite supervisée |
Vu le grand nombre d’automobiles sur le marché, choisir une voiture pour un jeune conducteur n’est pas chose facile. Entre vos besoins et votre budget, vous devez aussi prendre en compte plusieurs facteurs :
Pour certains jeunes conducteurs, rouler au volant d’une voiture puissante ou sportive est un rêve car c’est synonyme de puissance et de vitesse . Néanmoins, ce type de véhicule coûte cher à l’achat, à l’entretien et à l’assurance, et n’entre généralement pas dans le budget des conducteurs les plus jeunes.
En revanche, les citadines compactes, moins puissantes, peuvent s’avérer être des voitures plus adaptées pour une voiture d’occasion . Elles proposent un bon rapport qualité/prix tout en étant pratiques. Elles sont faciles à conduire et à garer . On peut prendre ici comme exemple les Peugeot 208, les Renault Clio et Twingo…
Certains de ces modèles sont d’ailleurs disponibles sur notre catalogue, comme la Peugeot 208 d’occasion.
Il est commun d’entendre que pour certaines personnes, acheter une voiture neuve est synonyme de sécurité et de confort, même si son coût est bien plus élevé et la décote plus importante. A l’inverse, les voitures d’occasion, certes moins clinquantes, sont plus abordables financièrement. Cela constitue un avantage non négligeable pour les jeunes conducteurs.
Au niveau de l’achat, les véhicules essence sont à privilégier car ils sont tout simplement moins chers que les diesel. Si vous effectuez des petits trajets avec votre véhicule (moins de 20 000 km/an), les voitures essence s’avèrent alors être plutôt rentables.
Le choix de votre véhicule a beaucoup d’influence sur votre prime d’assurance. En effet, certaines voitures peuvent se révéler plus coûteuses à assurer que d’autres. C’est pourquoi, il est important de savoir bien choisir son assurance auto quand on est jeune conducteur.De manière générale, les jeunes conducteurs sont mal vus par les assureurs car ils font partie des conducteurs souvent impliqués dans les sinistres. Ils subissent ainsi une majoration de prime de 100% la première année, qui baisse au fil des années si vous ne commettez aucun sinistre. Il sera bien plus difficile de vous assurer si vous disposez d’une voiture puissante car cela renforce les risques de sinistres.
Certaines assurances refusent de couvrir les jeunes conducteurs si leur voiture est d’une puissance dépassant les 6 chevaux fiscaux. Il y a aussi la valeur qui fait jouer la prime : plus la valeur de la voiture est importante, plus c’est cher. Voilà pourquoi il faut assurer des voitures de faible valeur.
Il est préférable que vous choisissiez de préférence une voiture qui a la réputation d’être fiable, peu ciblée par les voleurs, peu polluante et d’une faible cylindrée. Vous pourrez cela dit bénéficier de meilleurs tarifs si vos parents sont déjà assurés chez l’organisme d’assurance que vous convoitez et s’ils possèdent un bonus ou si vous avez obtenu votre permis par la conduite accompagnée. S’inscrire en tant que conducteur secondaire est aussi une bonne façon de faire des économies utiles.
Le permis probatoire implique certaines restrictions pour les jeunes conducteurs, concernant la vitesse notamment. Ainsi, hors agglomération, lorsque la vitesse est limitée à 90 km/h pour tous les autres conducteurs, les jeunes conducteurs sont astreints à ne pas dépasser les 80 km/h. De la même façon, ils ne doivent pas dépasser 110 km/h sur les sections d’autoroutes où la limite normale est de 130 km/h.
Les jeunes conducteurs devaient jusqu’ici abaisser leur vitesse de 10km/h, hors agglomération. Et à partir du 1er juillet alors ? Devront-ils se limiter à 70km/h sur les routes départementales ? Non. Avec la nouvelle réglementation qui, à partir du 1er juillet, va réduire la vitesse maximale à 80km/h, comme les autres automobilistes. Rien ne change en revanche pour les autres routes.
Depuis le 1er juillet 2015, les jeunes conducteurs en permis probatoire ont un taux légal d’alcoolémie en vigueur abaissé. Ce taux d’alcoolémie légal est de 0,2 gramme par litre de sang, ce qui est égal en pratique à 0 verre d’alcool. Avec la nouvelle limite d’alcool pour jeune conducteur, cet abaissement impose de ne pas boire, qu’il s’agisse d’un verre de vin ou même une bière. C’est la tolérance zéro qui s’applique.
En tant que jeune conducteur, si après un contrôle de police ou de gendarmerie vous êtes en infraction d’alcoolémie, qu’elle soit contraventionnelle ou délictuelle, des sanctions sont possibles :
Cependant, dans ces 2 situations, les conséquences ne sont pas les mêmes en fonction de l’ancienneté et du solde maximum du permis à points :